1. Conscience... Et alors? C'est vrai, complètement inutile et fade ce mot. Il commence ma première nouvelle concernant Galileis. Pour le lecteur ce doit être clair: on va s'ennuyer ferme. Copie à revoir.

2. Toute puissance de l'auteur qui, tel un dieu, peut s'imaginer un monde. Je m'adresse directement au lecteur, le message est le suivant: Ici c'est chez moi et je fais ce que je veux.

3. Ce monde, c'est Galileis. C'est l'équivalent de notre Terre il y quelques 40 000 ans. Pas tout à fait exact car pour me libérer d'anachronismes éventuels, je me place dans un univers fantastique où tout sera possible. Le motif pour se placer dans un tel univers est bancal. J'assume.

4. A cette époque, Sapiens est encore un enfant.

5. Il découvre le monde. Il lui reste tout à apprendre, à découvrir.

6. Au bord du lac d'Ogrinie, un doux matin de juillet est apparu une lueur étrange. Doux matin, j'aime moyennement. Ogrinie sonne avec Onirisme, il y a peut-être possibilité dévoquer le matin comme la fin d'un rêve. Lueur étrange, médiocre. Elle est de quelle couleur la lueur? Evoque t'elle un danger? Le froid? Le chaud?

7. Horak, ce matin là, chassait en compagnie de six de ses compagnons. Compagnie de six compagnons, lourd tout simplement.

8. Ils seraient donc sept à faire une découverte étrange ce jour là. Etrange, répétition malheureuse et facilement corrigeable.

9. Ils deviendront les sept gardiens.Okay, limite tout le monde s'en fout.

10. De quoi? Personne encore ne peut le dire. Comme je le disais, tout le monde s'en moque après cette première partie sans saveur.

Conclusion: aucune poésie, aucun rythme. Un article écrit trop vite alors que personne n'est dans l'urgence. A reprendre quasiment du début à la fin.